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Il n'y a pas que les mantes qui sont religieuses

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Bernard Ugueux, docteur en théologie et en histoire des religions disait : "La médecine et la religion sont les deux grandes institutions sociales qui gèrent ce qui hante l’humanité depuis ses origines : le maintien et la transmission de la vie, une vie humaine, épanouie, féconde, en relation positive avec les autres humains et en harmonie avec le cosmos et avec la divinité ou l’invisible."

 

La plupart des études sur la relation entre la pratique religieuse et les différents aspects de la santé mentale ont révélé que les personnes qui ont une forme de pratique religieuse possèdent une meilleure santé mentale, et affrontent le stress avec plus de facilité (imaginons que le stress c’est l’OM, ça voudrait dire que la religion c’est le PSG, fin du débat). 

 

Les recherches faites jusqu’aux années de Britney Spears (années 2000) sur les croyances et les pratiques religieuses en lien avec la santé physique ont démontré que les personnes religieuses sont en meilleure santé physique, qu’elles ont une conduite et un style de vie plus sains et ont donc moins besoin d’assistance médicale.

 

Prier permettrait de réduire le rythme cardiaque et la pression sanguine du corps, ce qui permet de rendre la personne pratiquante moins stressée, plus détendue et donc apaisée.

 

Les croyances fondées sur des valeurs positives comme l’amour, la compassion et le partage apporteraient une meilleure santé émotionnelle (fini de s’affaler sur le canapé avec des boules de glaces) et de nombreux effets positifs sur le corps avec par exemple un taux bien plus faible de maladies liées au cœur, un meilleur fonctionnement du système immunitaire et moins de risques de développer certaines maladies plus importantes comme le cancer (je vous épargne la liste …)

 

"Croire en Dieux est bon pour la santé". Les religions apportent réconfort, harmonie et confiance en soi. Une activité religieuse privée (prière, lecture sacrée) est associée à une probabilité de survie à six ans (dans 50% des cas) par rapport aux personnes qui déclarent ne jamais se livrer à ces activités.

 

Être croyant améliorerait l’évolution des personnes hospitalisées en cours de séjour psychatrique; les patients sans appartenance religieuse mais croyant en une puissance supérieure (autre que moi) évoluent significativement mieux que les non croyants. 

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